Grand Corps Malade a participé activement au développement du slam en France. Bien que le slam soit un art a cappella, il fait une entorse à la règle et met en musique ses textes et devient en quelques années l’emblème français du slam. Le slam, qu’il défini comme « un moment d’écoute, un moment de tolérance, un moment de rencontres, un moment de partage ».
Un nouvel album
Après douze ans de scène, avec ce sixième album, Grand Corps Malade enfonce le clou en portant au sommet de l’ambition la valeur des Plans B. Dans une société qui ne reconnaît que les gagnants et désigne avec affliction les perdants, Grand Corps Malade redessine un projet de société où chacun peut trouver sa juste place. « On peut avoir des tas de moyens de rêver sa vie, on peut aussi souffrir d’avoir des rêves qui ne se réalisent pas. Ce n’est pas une raison pour autant de refuser de croire que le rêve n’a qu’une issue. »
Slam et arrangements sud-américains
Dans ce nouvel album très musical, Grand Corps Malade marie son slam à des arrangements sud-américains et quinze nouveaux titres, lumineux ou mélancoliques, mais toujours émouvants se rencontrent sur différents thèmes que sont la paternité, la vie parisienne, les travers de l’être humain ou de la société moderne, toujours avec le goût du mot juste et une musicalité unique.
Vendredi 27 septembre à 20h30 au Théâtre de Châtel-Guyon. Attention, le spectacle est complet.
Commenter