Mais si, la reine-mère des sages-femmes est, officiellement, une gloire auvergnate. Et elle a vraiment fait beaucoup pour la libération de la femme !
Chroniques
L’actualité sportive ne faiblissant pas dans un contexte où l’irrespect prend trop souvent le pas sur l’éthique, une petite promenade en forme de divagations autour de quelques événements ne pourra faire de mal à personne. Enfin, on l’espère.
Annoncé de bonne foi mais néanmoins imprudemment par son président en fin de saison dernière, l’objectif du TOP6 était devenu chimère au fil du calendrier de l’ASM. Fut-ce la révolution culturelle de l’embauche de l’amiral Urios pour redresser la barre du navire jaune et bleu, le coup de blues de la ‘’Yellow Army’’ avait pris des allures de commotion longue durée. Mais…
Si un melchisédech n’est pas une bouteille de trente litres de champagne c’est qu’il s’agit de Pierre-Léon Melchissédec, gloire clermontoise du chant qui a fait vibrer l’opéra de Paris... Et quitté la nomenclature des rues de sa ville natale !
Au pays de Vercingétorix tous les chemins, heureusement, ne mènent pas à Rome. Ceux du Cézallier peuvent ainsi conduire jusqu’à l’Empire du Milieu via les sables de la péninsule Arabique. As de l’enduro des années 80, passé par le rallye-raid sur deux puis quatre roues, inconditionnel de l’aventure raisonnée et toujours en quête de nouveauté, Thierry Charbonnier troque maintenant plus souvent le casque de pilote contre la casquette de businessman.
Si le Père Noël n’avait pas su gâter les supporters de l’ASM, les étrennes de
janvier se révélèrent plus consistantes avec l’arrivée du Père Urios à la barre
d’un navire jaune et bleu déboussolé. Le personnage ne laisse pas indifférent,
réconfortant comme une peluche mais inspirant crainte et respect comme un
ours brun de 500 kilos (1).
De mai à octobre 1956, après « Racine et Port-Royal », le nouveau musée national de Port-Royal des Champs, ouvert en 1953, consacre son exposition « Pascal et Les Provinciales » à un autre grand nom ami des lieux.
Rien d’anormal si pour la première fois dans l’histoire du sport clermontois, le
budget du rugby se trouve maintenant distancé par celui du foot : 30 millions €
pour l’ASM contre 36,3 millions € pour le Clermont foot. Reflet d’une opposition entre deux systèmes économiques très différents dans une
dynamique inversée.