Mieux vaut arriver à la fin d’un bon repas qu’au début d’un mauvais. Le plat de résistance porte parfois bien son nom. On y laisse une molaire non remboursée par la Sécurité sociale. Certains se demandent « Qu’est-ce qu’on va manger ? » et d’autres « Est-ce qu’on va manger ? » Quand les convives mangent la peau du saucisson, la croûte du fromage et les pépins des pommes, on peut se demander si le repas a été suffisamment copieux. Sauter un repas demande quand même beaucoup d’agilité. Ce qui est terrible dans les menus alléchants des restaurants...
Chroniques
"Les claquettes c’est plus de notre époque/ La Metro Goldwin Mayer c’est plus la meilleure/Ça balance pas mal à Paris, ça balance aussi... » 48 ans après sa sortie, le tube du duo France Gall / Michel Berger sera-t-il l’hymne des J.O. de Paris 2024 ? En attendant, la cure de jouvence olympique a installé une certaine grogne chez les recalés du programme concocté par le Comité d’Organisation. Et ça continue, encore et encore.
Voilà bien un titre qui déroute et peut autant nous conduire à le laisser à la poussière des rayons que, intrigué, à tenter l’aventure de sa lecture
Enfin une année qui nous promet une note de 20/20, notation que votre chroniqueur préféré n’a jamais obtenue dans sa scolarité…Il nous reste à désirer que le dieu des cinéphiles se penchera sur les écrans de notre ville, pour faire de cette promesse une belle réalité.
« L’Auvergnat n’est pas criminel. Quand il s’y met cependant, comme en tout, il aime à bien faire choses. » Au début du siècle dernier, Joseph Quatresous donne raison à Alexandre Vialatte...
L’impact des catastrophes et autres accidents, incendies, séismes, inondations, qu’ils soient d’origine « naturelle » ou directement provoqués par l’homme, est estimé en termes de victimes humaines et/ou de pertes matérielles. Pour que les animaux méritent de figurer dans les décomptes, ils doivent aligner les zéros. A la façon australienne.
Ding-dong ! « Votre attention…le vol spécial Fiji Airways en provenance de Suva est annoncé avec vingt minutes de retard ». Dans le hall des arrivées de l’aéroport de Clermont-Aulnat, Jean-Pierre Romeu jette un coup d’œil à sa montre en se disant que « bon, vingt minutes de plus ou de moins, ce n’est pas grave, pourvu qu’ils arrivent ! »
Une petite fatigue d’après fêtes me découvre, paresseux, puisant dans un souvenir anecdotique : un Noël à Djibouti.