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Olivier Bianchi dégustant des pâtes / Photo Eloïse Gerenton
Olivier Bianchi dégustant des pâtes / Photo Eloïse Gerenton
Gastronomie

Olivier Bianchi : Interview « al dente »

En marge du village gourmand italien qui se tient ce weekend Place de Jaude, une "master class" sur le thème de la cuisine italienne a été organisée chez Spoon. Le maire de Clermont, Olivier Bianchi y a participé et... fatalement dégusté des pâtes.

Le village gourmand italien, qui a immigré cette année de la Place de la Victoire (envahie par les terrasses post Covid) pour la Place de Jaude,  a donné l’occasion d’organiser une master class* à laquelle Olivier Bianchi, maire de Clermont Ferrand s’est rendu. L’occasion pour nous de discuter avec lui, non pas de politique, mais de gastronomie italienne. Cette nourriture, il la connaît bien, puisque ses origines sont ancrées au pays de la pizza.

E.G : D’où venez-vous en Italie ?

O.B : Mes origines italiennes, je les tiens de la famille paternelle. Mon arrière grand-père était de Toscane du côté de Florence. Il est venu en France à Nice comme ouvrier saisonnier pour ramasser les olives. La maman de mon père était une nissarde. On est devenu français quand le comté de Nice, lui même, est devenu français. 

E.G : Quelles sont les spécialités de Toscane?

O.B : La Toscane c’est la grande région du chianti au niveau des vins. Il y a beaucoup de terroirs différents en Italie, c’est un peu comme la France. On peut avoir des cuisines très maritimes comme en Sicile, à Venise par exemple, et d’autres endroits où on trouve une cuisine plus rurale avec de la viande, de la charcuterie, ou encore du fromage.

E.G : Qu’est-ce que vous préférez dans la cuisine italienne?

O.B : Je mange des pâtes tout le temps, ça fatigue tout le monde autour de moi d’ailleurs (rire).  Très classiquement je les cuisine avec de l’ail et de l’huile d’olive. C’est vraiment ce que je préfère, avec un peu de piment. Ce qui est bien avec les pâtes c’est qu’on peut les cuisiner de différentes façons. Quand j’ouvre mon frigo, je regarde ce qu’il y a et j’assemble les aliments. Souvent j’utilise une base tomate, mais sinon on peut mettre de tout dans les pâtes, comme des câpres, du thon, du poisson, de la charcuterie, des légumes ou encore des asperges. Tout fonctionne !

*Le village gourmand italien (jusqu’au 13 juin inclus) et la master class ont été organisés en partenariat avec notre confrère Direction Italie, magazine édité par la société clermontoise Vasco Editions

À propos de l'auteur

Eloïse Gerenton

Animée par l’envie de parler du monde qui l'entoure, Eloïse Gerenton, originaire du Puy-en-Velay, a pris la voie du journalisme après l’obtention de son bac Littéraire. Aujourd’hui, journaliste professionnelle encartée, elle travaille pour France 3 Régions et d'autres médias.

1 Commentaire

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  • Bonjour
    Je suis passée vers les stands italiens . D accord, ils donnaient envie, mais…j’ai été plutôt « dégoûtée » par un des commerçants.
    Dans une bonne intention, il faisait goûter à ses potentiels clients, ses olives noires en leur tendant le doseur avec lequel il les sert..
    Donc, à chacun de plonger sa main…
    Pas très heureux ni propre de tout temps et encore plus actuellement…

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