Malgré toutes les polémiques écolo, le sapin de Noël est resté, cette année encore, un élément indispensable de la décoration intérieure des fêtes de fin d’année. Comme chaque année, parfois dès le 26 décembre, ce sapin devient un déchet bien encombrant qu’il faut évacuer des logements en prenant garde de ne pas semer ses épines qui tôt ou tard, Nordmann ou pas, finissent par tomber.
Faut-il le rappeler encore cette année, déposer son sapin sur le trottoir est tout simplement interdit et passible d’une amende de 3e classe. Comme les camions de ramassage des ordures ne sont pas conçus pour les évacuer, il convient de le déposer soit dans une des sept déchetteries de la métropole, soit dans un des nombreux points de dépôt temporaire installés jusqu’à fin janvier en différents points des communes métropolitaines.
Le sapin est un bio déchet
Une fois son travail décoratif terminé, le sapin naturel (et son support) a encore une vie car il reste un bio déchet, à condition bien entendu, qu’il ait été débarrassé de ses guirlandes et autres boules. Après collecte, il est acheminé vers une plateformes adaptée aux déchets verts. Sur place il est broyé pour être utilisés en paillage sur les espaces verts, transformé en compost pour enrichir les terres, ou même conditionné pour être utilisé en combustible.
Pour retrouver les infos utiles sur la seconde vie des sapins, rendez-vous sur le site web de Clermont Auvergne Métropole
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