Les futures stars apprennent aussi à conduire. Ce fut le cas pour Johnny Hallyday au début des années 60.
Auteur : Anne-Sophie Simonet
Le 8 juillet 2017, à 17 h 35, l’AFP annonce que François, le premier pape jésuite, vient de confier au journal La Repubblica une « conviction personnelle positive » pour le moins volcanique enfaveur de la béatification du premier des pourfendeurs des jésuites, un certain Blaise Pascal, par ailleurs génie de l’humanité et natif de Clermont-Ferrand. Que l’Argentin en blanc ait fait de la pauvreté le pivot de son pontificat répond aux « trois ordres » selon Pascal, mondain converti à un catholicisme d’une ascèse janséniste : « corps, esprit [et] charité »… En foi de quoi...
[L]a seule où je ne sois pas un étranger, un passant qui pourrait ne pas revenir »*, les cols blancs sont désormais plus nombreux que les cols bleus. Qu’importe, Clermont-Ferrand est une ville authentiquement ouvrière. Et comme le patrimoine génétique socioculturel se renouvelle beaucoup moins vite que les générations de « Bibs », le Clermont des années 2010 pense et vit ouvrier. À fleur d’esprit et d’âme, la sage simplicité des « cités Michelin » se confond encore avec une humilité farouche. Alors, Clermont n’ose pas oser. Clermont se méfie de ceux qui affichent une réussite trop...