Il s’est fait connaître en remixant des titres de différents genres, de l’électro au rock. Et en 2005, Boys Noize (de son vrai nom Alexander Ridha) a fondé son propre label : Boysnoize Records. Né à Hambourg et vivant à Berlin, il est, selon Rolling Stone, « dans le top 10 des Djs qui dominent le monde ». De fait, il est reconnu par ses pairs et joué par de nombreux DJs de la scène électronique moderne. Dans le même temps, Boys Noize, extrèmement prolixe et inventif, mène différents projets, empruntant des alias différents. Son électronique pionnière, sa techno raffinée, sa house grande ouverte ont donné la vie à une nouvelle esthétique.
Identité sonore
Un poil plus foutraque, savamment construite sur des instruments inventés à partir d’objets du quotidien, la house électro de Ouai Stéphane est gavée de vitamines et d’instants surréalistes. Délicieux et décalé.
Pilier du label Boysnoize Records, Djedjotronic s’est forgé depuis dix ans une identité sonore forte et singulière nourrie par la techno de Detroit, l’electronica de Warp, la new beat européenne et la musique industrielle. Son premier album oscille entre electronic body music martiale, BO kraftwerkienne et techno analogique.
Sur la scène très électronique de la Coopérative de Mai, les amateurs pourront également retrouver Romane Santarelli, Rrobin et The Sea Floors Scratchers.
Vendredi 28 février à 23h à la Coopérative de Mai.
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