#3 : Vous n’avez pas souhaité maintenir une version numérique, obligeant les festivaliers à se déplacer et dégradant, de fait, le bilan carbone de la manifestation. Si on en comprend la raison (cf la question précédente) que faites vous pour compenser ?
Eric Roux : Ce n’est pas propre au festival de Clermont, tout l’événementiel est concerné, dans toute l’Europe et tout au long de l’année. Il y a peut-être une autre manière de réfléchir à cette question là, et le festival du court métrage est engagé dans une labellisation comme événement écologiquement responsable. Il y a plein de questions que nous devons nous poser, et à plein de niveaux : Qu’est ce qu’on utilise comme contenant pour boire un coup, comment réduire la production de papier… au sein de Sauve qui peut le court métrage, il y a un groupe de travail qui s’intéresse à la fois à la responsabilité environnementale de l’association pour faire évoluer ses pratiques mais aussi au festival lui-même.
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