Leur tout dernier album, baptisé Amours grises & colères rouges, comprend des chansons d’amour. Mais oui, tout arrive, même dans l’univers des Ogres de Barback. Pour autant, pas question de lâcher ce qui fait l’ADN du groupe : l’engagement, sans pour autant faire la morale…« Nous ne sommes pas là pour dire comment penser. Nous préférons rester dans la suggestion » expliquent ces ogres, toujours accompagnés d’une ogresse.
Depuis 25 ans
Ils tiennent la rampe, solidement depuis 25 ans. Classique ou métissé, acoustique ou électrique, poétique ou survolté, leur répertoire tient le haut du pavé depuis la fin du XXe siècle. Et ils évoquent tour à tour la société nombriliste et consumériste, la propension à la guerre, la routine, l’obscurantisme … quand ils ne parlent pas d’amour.
En première partie, le groupe stéphanois La Mauvaise Herbe, dont la filiation est certaine avec les Ogres de Barback et les Têtes Raides, donnera le tempo…
Vendredi 13 décembre à 20h30 à la Coopérative de Mai.
Commenter