A quoi doit-il sa notoriété ?
Son quart de siècle de scène : Ayant sorti son premier album en 1997, ce virtuose irlandais s’impose dans l’univers du blues-rock en participant à de nombreux festivals en Europe.
Son charisme : Ce guitariste barbu dégage une sorte de force tranquille qui le fait ne ressembler à aucun autre.
Ses fidèles musiciens : Les membres de son groupe, The Boxtie Band, ne sont autres que ces frères jumeaux, Pauric et James respectivement au clavier et à la basse.
Un amoureux des 60’s et 70’s et de la France
Gallagher aime reprendre les classiques des Pink Floyd, The Band, Lynyrd, Hendrix, Peter Green et Jimmie Rodgers comme The house of the rising sun ou Free Bird.
Pour cet irlandais, « la France est comme un aimant ». Il a envie d’y revenir sitôt qu’il est parti, « comme un sentiment instinctif ». Beaucoup de ces compositions originales racontent ces vicissitudes françaises lors de ces tournées. « St Julien » est un hommage à St-Julien-en-Genevois où il y a un grand festival de guitares tout comme celui de Patrimonio en Corse dans lequel il s’est rendu de nombreuses fois. La chanson « I’ve got nothing Toulouse » raconte, quant à elle, sa rencontre avec « Un gars qui lui a demandé de l’argent, il n’avait pas de chaussures. Il a tendu ses mains, il a regardé vers le fleuve et a dit : « Je n’ai rien » (“I have nothing”) ». Son passage à Clermont lui inspirera-t-il une autre chanson ?
Infos pratiques :
Johnny Gallagher, le 20 août à 21 heures, à la salle de la Coopérative de mai
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