Comme chaque année, l’association Sauve Qui Peut le Court Métrage organise plusieurs résidences en Auvergne. Scénario, musique, les jeunes créateurs se perfectionnent chaque année.
Mots-Clés : La Jetée
Du stade à l'écran : soirée spéciale consacrée à des courts métrages sur le thème du football proposée à La Jetée avec le Clermont Foot 63.
À l'occasion du Festival 2024 qui donne la part belle aux femmes, Sauve qui peut le court métrage présente l'exposition "Héroïnes" à la Jetée, une exploration de la représentation féminine dans le cinéma.
L'ordre du jour du conseil de Clermont Auvergne Métropole qui s'est tenu cette semaine était bien chargé et comportait deux résolutions importantes : la Cité du Court et la reconversion du site Cataroux-les Pistes. Les élus ont majoritairement dit oui à ces deux projets.
Depuis une décennie, il est possible de prendre sa pause déjeuner en visionnant des courts métrages au sein du Centre de documentation du cinéma et du court métrage de La Jetée. "Déjeuners sur courts" est organisé un jeudi sur deux.
Le Centre de documentation la Jetée propose aux curieux un atelier pour découvrir la réalité virtuelle à travers des visites ou des jeux.
En février 1978, la première "semaine de cinéma du court-métrage" voit le jour à l'Amphi Gergovia. Elle attire 1500 spectateurs. Le début d'une histoire qui se poursuit aujourd'hui.
Le film "Danser sa peine" de Valérie Müller raconte l'expérience artistique vécue par des détenues de la prison des Baumettes de Marseille et par le chorégraphe Angelin Preljocaj, actuellement à Clermont pour la création du "Lac des Cygnes". Le documentaire sera projeté demain à La Jetée.
Après "Tout semblait immobile", la metteuse en scène présente "Aux Éclats". Elle poursuit un itinéraire artistique où chaque élément trouve naturellement sa place.
"Difficile à raconter", Nô Mëtî Sîfâdhe en langue Peule, est un documentaire format 52 minutes qui donne la parole à huit jeunes migrants guinéens. Il sera projeté mardi 16 avril à Clermont, à la Jetée, à 18h00, projection suivie d’un débat en présence de son réalisateur Thierno Souleymane Diallo.