Alors que l’on en saura peut-être davantage sur la réouverture prochaine ou non des lieux de diffusion culturelle en France, le Tremplin de Beaumont accueillera ces prochains jours en résidence le groupe Super Parquet, qui mêle habilement musique traditionnelle et électronique. La formation est née de la rencontre de Louis Jacques, joueur de cornemuse, et des musiciens électroniques, Julien Baratay et Simon Drouhin. Un trio auquel s’est rapidement joint Antoine Cognet (que l’on connaît notamment pour sa participation au groupe Komred), au banjo.
Spatialisation sonore
Cette fusion entre sons synthétiques et instruments traditionnels du répertoire populaire débouche sur une musique hybride, électroacoustique, inventive qui séduit des publics différents. Au Tremplin, du 25 au 29 novembre, ce groupe phare de la scène locale prendra le temps de travailler sur de prochaines créations, tout en réfléchissant à de nouvelles formes de diffusion. Entre autre, il sera question de spatialisation sonore, technique novatrice, que Super Parquet espère mettre au service de sa proposition artistique.
Commenter