2024 verra les Jeux-Olympiques de Paris. Encore que le mode est tellement chamboulé par l’apparition d’une épidémie qu’il ne faut désormais jurer de rien. Les Jeux d’une ville, d’abord, mais aussi d’une région, l’Ile de France. Au-delà, l’idée est de mobiliser tout un pays derrière l’organisation. C’est ainsi que, fin 2019, Clermont Auvergne Métropole obtenait le label « Terre de Jeux 2024 » qui lui permettait de concourir à devenir « Centre de préparation aux Jeux », distinction accordée par le Comité Olympique, Paris 2024. Cela vient récompenser un engagement permanent pour garantir les meilleures conditions de pratique aux habitants, aux amateurs et aux sportifs de haut-niveau. Cette sélection offre également une visibilité importante notamment auprès des délégations étrangères qui pourraient venir préparer leur compétition sur le territoire.
Athlétisme, natation, football et autres
Les cinq équipements proposés dans la candidature de la Métropole ont été retenus sans condition par le Comité Olympique. Il s’agit de l’Arténium à Ceyrat (judo, taekwando et lutte), du stade nautique Pierre-de-Coubertin (natation), du stade des Gravanches (rugby à 7), du stadium Jean-Pellez (athlétisme) et du stade Gabriel-Montpied (football), autant de lieux susceptibles d’accueillir les sportifs internationaux dans le cadre de leur préparation aux Jeux Olympiques et paralympiques. La métropole clermontoise va désormais solliciter les Comités Nationaux Olympiques et Paralympiques qui choisiront, en fonction de leurs besoins, un point de chute adapté à l’entraînement de leurs athlètes. Pour ce faire différents outils vont être déployés, parmi lesquels le site internet www.clermontJO2024.com
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