Olivier Bianchi, maire de Clermont et président de la métropole a très vite réagit hier soir à l’annonce du second confinement. Peu de temps après l’allocution officielle, c’est sur les réseaux sociaux qu’il s’est exprimé «Pour contrer l’évolution brutale de l’épidémie, je prends acte des annonces du président de la République » annonçant une réunion des services dès ce jeudi afin de mettre en œuvre la nouvelle période et d’ajouter « À Clermont, comme au printemps dernier, nous mettrons tout en place pour assurer à celles et ceux qui doivent travailler, de pouvoir le faire dans les meilleures conditions. Nous continuerons, avec nos partenaires, à assurer le soutien de ceux qui seront impactés par ce confinement».
Dans la foulée, Eric Faidy, au nom du Groupe Majorité présidentielle à la ville et à la métropole, a bien entendu salué la décision du président Macron, mais aussi l’attitude du maire de Clermont. « Nous nous félicitons de l’attitude et des déclarations responsables d’Olivier Bianchi qui s’inscrit dans l’union nationale » a t-il précisé avant d’ajouter que son groupe soutiendra toutes les mesures que la ville et la métropole prendront pour combattre la crise dans une ambiance d’apaisement politique « Ceux qui cherchent à profiter de la crise sanitaire, économique et sociale pour servir leur petits fonds de commerce électoraux sont irresponsables ».
Le confinement que tout le monde redoutait est bien là et annonce de nouvelles difficultés pour le commerce local. Claude Barbin président de la Chambre de Commerce et de l’Industrie du Puy-de-Dôme s’est fendu d’un très laconique « Tour sauf un confinement total » et a rappelé la position du réseau des CCI qui appelle les pouvoirs publics à préserver au maximum l’activité économique et l’emploi quel que soit le schéma de protection sanitaire choisi.
Confinement #2 : Les toutes premières réactions à Clermont.
L'annonce du second confinement a immédiatement déclenché des réactions dans les mondes politiques et économiques. A Clermont comme partout en France se pose désormais le casse-tête de protéger la population sans détruire l'économie locale déjà fragilisée.
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