Dans un monde où le numérique prend la main sur presque tout, l’auto-école ne pouvait échapper à la forme 2.0.  En voiture Simone, auto-école 100% connectée, agréée par l’État, propose un parcours d’apprentissage dématérialisé via une application qui offre une grande souplesse aux candidats puisque ces derniers peuvent apprendre le code de la route à leur rythme, sans aucune contrainte de jour et d’heure. L’examen du code réussi, ils passent ensuite à la conduite avec de vrais moniteurs, cette partie ne pouvant bien entendu, pas être dématérialisée. Là encore, les candidats bénéficient d’une grande souplesse d’organisation, les leçons pouvant se dérouler  7 jours sur 7 de 6h à 23h. Si l’on parle « d’implantation clermontoise » c’est parce que depuis cet été, des moniteurs officient dans la capitale auvergnate, comme dans de nombreuses ville de France où la formule a manifestement attiré les candidats. Il faut dire que comme pour beaucoup de services en ligne, la forme de cette école permet une réduction assez importante du prix total de l’examen. De plus les moniteurs donnent rendez-vous aux élèves à proximité de trois lieux facilement accessibles en transports en commun : la Maison des Sport, le MARQ et le centre commercial de la Pardieu.

Qui était Simone ?

On attribue à tort l’expression « En voiture Simone » à Guy Lux qui l’employait régulièrement dans la fameuse émission Intervilles dans les années 60 qu’il présentait avec Simone Garnier. En réalité la Simone de cette expression populaire était Simone Louise de Pinet de Borde des Forest pionnière de l’automobile qui, née en 1910, s’était prise de passion pour les voitures dès l’âge de 12 ans. Elle fut l’une des premières femmes françaises à passer le permis de conduire, examen qu’elle avait obtenu à l’âge de 19 ans. Elle devint rapidement pilote professionnelle, s’engageant dans des rallyes et des courses sur circuit. Après la seconde guerre mondiale à laquelle elle participa en tant que conductrice d’ambulance pour la Crois Rouge, elle se fit remarquer en tant que première femme à ouvrir une auto-école en 1950.