Le jumpstyle? Une danse apparue dans à la fin des années 90 dans le milieu techno du nord de l’Europe avant de connaître un fort engouement via Internet et les réseaux sociaux. Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel, les trois jeunes membres du collectif (La) Horde, se définissent eux-mêmes comme artistes « post Internet ». Alors, à l’occasion de leur dernière pièce chorégraphique To Da Bone (présentée du 25 au 27 septembre à la Cour des Trois Coquins), le trio s’inspire-t-il du jumpstyle .
Micro et public
Le collectif (La) Horde sera justement l’un des invités de la prochaine émission proposée par Bouche à Oreille, la radio web de la Comédie de Clermont, lundi 24 septembre. A cette occasion, les trois chorégraphes proposeront une conférence sur le jumpstyle et les danses post-Internet, suivie d’un échange avec la journaliste de Radio Arverne, Marie Serve, et le public.
La forte empreinte de Belfast 
L’émission, enregistrée en public et en direct, comportera ensuite une interview de la danseuse-chorégraphe Oona Doherty, née à Londres et qui a vécu son enfance en Irlande du nord. Sa dernière création Hard to be soft- a Belfast prayer en témoigne. Présentée les 27 et 28 septembre au Caméléon à Pont-du-Château dans le cadre de la Biennale de la danse, cette chorégraphie, sur une musique de David Holmes, est traversée par les rudes réalités d’une ville en proie au chômage et aux dérives.
Emission Bouche à Oreille, lundi 24 septembre de 18h à 19h30, en direct et en public au Fotomat’, 65 boulevard-Côte-Blatin à Clermont (entrée libre). Tous les podcasts: www.lacomediedeclermont.com
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