Un engagement en faveur de la santé des Clermontois. C’est le sens du Contrat Local de Santé, signé pour les années 2019-2021, par différents partenaires institutionnels ou organismes. Rien de nouveau en réalité puisque le CLS est issu de la Loi « Hôpital, Patients, Santé, Territoires » du 21 juillet 2009. Le CLS a ainsi pour but l’amélioration des contextes sociaux et environnementaux, l’accès des personnes aux soins, aux services et à la prévention, la promotion et le respect des droits des usagers du système de santé et il doit également favoriser les politiques de soins et l’accompagnement médico-social en phase avec les politiques régionales de santé, menées par l’Agence Régionale de Santé (ARS).
Les différents signataires
Le Contrat Local est ainsi signé entre la Ville de Clermont et l’ARS. Et il s’étend à d’autres acteurs du domaine : la Préfecture du Puy-de-Dôme, le Conseil départemental, le Centre Hospitalier Universitaire (CHU), le Centre Hospitalier Spécialisé Sainte-Marie et, enfin, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie.
Des priorités, des actions
Nourri des enseignements d’un premier contrat (2016-2018), le nouveau document fixe un certain nombre de priorités : la promotion de la santé mentale, le développement d’actions de promotion de la santé et de l’offre de soins de premier recours. Mais aussi développement d’ un cadre de vie favorable à la santé. L’accès aux droits sociaux et à la santé et le parcours de soins des publics migrants et réfugiés présents sur le territoire sont les autres thèmes évoqués. Au total, ce sont douze actions prioritaires qui sont définies. Un comité de pilotage, formé des différents signataires, examinera chaque année la programmation prévisionnelle de mise en œuvre du CLS et validera l’évaluation du dispositif avec la mise en œuvre éventuelle d’actions correctives.
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