Son deuxième album, Alaska, sortira officiellement le 25 octobre. Distribué par Inouie distribution, il sera alors disponible en physique et sur les plateformes de téléchargement. D’ici-là, Eryk Eisenberg, alias Eryk.e, ne va pas demeurer les bras croisés, attendant benoîtement l’échéance. A l’issue de sa résidence à Sémaphore, il sera en concert dans la salle de Cébazat, vendredi 28 septembre, lors d’une soirée gratuite.
Émotion et apaisement
Dans Alaska, nouvel opus, comme ce fut le cas dans Seize, le précédent, le Clermontois Eryk.e joue sur les émotions, avec subtilité, nuances, poésie. La couleur de l’album se révèle plutôt sombre: il décrit tour à tour un amour impossible, les braises d’une planèze allégorique, les questionnements d’un « homme à qui tout sourit trop » ou évoque un drame de l’actualité. Toujours avec délicatesse et de sa voix apaisante.
Proche de Jean-Louis Murat
Jean-Louis Murat, muse bienveillante d’Eryk.e depuis de longues années, observe son ami, artiste et anesthésiste, évoluer. Complices dans la musique, ils se retrouvent dans une atmosphère assez proche, empreinte d’une mélancolie à peine esquissée et teintée de contrastes. Révélation des 17èmes rencontres Matthieu-Côte 2016 (3 prix remportés), primé aux Médailles d’or de la chanson 2016 en Suisse Romande, Eryk.e est entouré de Lézard à la guitare, Alexandre Peronny au violoncelle et à la basse, Gaëlle Cotte pour les chœurs, Josselin Hazard à la batterie, Julien Quinet à la trompette et au trombone mais aussi Elodie Huré (création visuelle) et Guillaume Leybros (lumière). Une « équipe » qui sera sur la scène du Sémaphore pour un voyage en Alaska.
Vendredi 28 septembre à 20h30 à Sémaphore, Cébazat. Concert gratuit. Réservations au 04-73-87-43-41.
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