Le piano est une libération. Tout au moins avec Estelle Jacques, musicienne débridée qui se plaît à éclater les frontières entre les styles musicaux. Pianiste avant tout, elle maîtrise également la contrebasse, la vielle à roue (qu’elle a découvert au Conservatoire de Clermont, à l’âge de 20 ans) ou encore le nyckelharpa, un instrument traditionnel suédois. Elle aime Maurice Ravel autant que Janis Joplin, Astor Piazzolla comme Erik Satie.
Un premier album solo
Au mois d’avril, Estelle Jacques a sorti Liberpiano, son premier album solo, sous le label « L’autre distribution ». Aux confluences des musiques savantes et populaires, du classique aux musiques de films en passant par des sonorités exotiques, l ‘opus propose un voyage musical singulier, rythmé, coloré, émouvant et cinématographique. Un vagabondage sans contrainte, gourmand, auquel elle invite désormais le public de Fotomat, longtemps sevré d’évasions.
Samedi 29 et dimanche 30 mai à 19h à Fotomat, 65 boulevard Côte-Blatin à Clermont.
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