« J’ai crevé l’oreiller, j’ai dû rêver trop fort » entonnait Bashung, bien avant le crépuscule de son existence, en ouverture de sa chanson « Vertige de l’amour ».
« J’ai crevé l’oreiller, j’ai dû rêver trop fort » entonnait Bashung, bien avant le crépuscule de son existence, en ouverture de sa chanson « Vertige de l’amour ».