On aime Tadej Pogacar, le triple lauréat du Tour de France, parce qu'il est insaisissable, audacieux, impétueux, intrépide. N'en déplaise aux plus sceptiques.
Auteur : Marc François
Où va-t-on ? Qui a gagné ? Quelle légitimité désormais pour le Président de la République ? Pour l’heure, le dernier scrutin législatif, oscillant entre gravité et grotesque, pose une série de questions qui n’ont pas trouvé de réponses.
En choisissant de dissoudre brutalement, l’assemblée nationale au lendemain de l’élection européenne, Emmanuel Macron aura précipité le pays dans un chaos institutionnel dont il n’est sans doute pas prêt de sortir.
Le Tour est une pièce de théâtre, un drame en vingt et un actes, exaltée par son décor.
Tandis que Pogacar et Vingegaard chercheront le triplé, Roglic et Evenepoel tenteront de jouer les trouble-fête. On espère qu’aucun virus ne viendra arbitrer les débats.
L’artiste, née au beau milieu d’un autre siècle, nous laisse des chansons exquises et une image raffinée.
En décidant de nouvelles élections législatives précipitées, le président de la République n’a-t-il pas joué au pyromane plutôt que de rechercher l’apaisement ?
Le front ukrainien plie mais ne rompt pas. Et d’une certaine façon, Vladimir Poutine a déjà perdu la guerre.
Quelles seront les conséquences du scrutin des élections européennes sur le paysage politique national ? Emmanuel Macron, peut-il demeurer sans réaction en cas de désaveu ?
Ils ont débattu la semaine dernière devant les caméras de France 2 et n’ont sans doute pas fini de croiser le fer.