Qui est donc Monsieur Ickx ? Le sextuple vainqueur des 24 Heures du Mans, lauréat parfois au prix de folles remontées (1969 et plus encore 1977) ? Le virtuose de la Formule 1, vainqueur de son premier Grand-Prix à 23 ans et qui va toujours buter sur le titre de champion du monde ? Le pilote intouchable sous la pluie, le maître du Nurburgring (dans son ancienne configuration) ou le roi de Spa-Francorchamps ? Est-ce le recordman de victoires dans les épreuves d’endurance ? Celui qui s’exile en Amérique du Nord pour remporter le challenge Can Am ? Ou l’amoureux de l’Afrique qui s’impose sur les dunes du Paris-Dakar ? Tout cela, évidemment, rassemblé en un seul champion, une seule carrière.
Chez Glénat
Lorsqu’il accède au-devant de la scène, à la fin des années 60, Jacky Ickx partage le haut de l’affiche du sport belge avec Eddy Merckx, le footballeur Paul Van Himst ou encore l’athlète Gaston Roelands. Près de 30 ans après sa dernière course sur circuit, Ickx reste un nom prestigieux au firmament du sport mondial. Aujourd’hui, ce fils de journaliste automobile a 72 ans. Il porte un regard lucide sur la course et cultive une approche à la fois élégante et teintée de philosophie de l’existence. Dugomier (pour le scénario) et Jean-Marc Krings (pour le dessin), avec la participation du coloriste Bertrand Denoulet, lui consacrent un hommage sous la forme de deux bandes dessinées. Le premier volume intitulé « Jacky Ickx – Rainmaster » est sorti aux éditions Glénat. Un deuxième volume est prévu.
En vente à Esprit B.D Manga Comics, 29 rue Saint-Esprit à Clermont-Ferrand.
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