Quel meilleur moment que l’approche des fêtes pour faire briller une boutique en centre-ville clermontois. Porté par la dynamique de son aventure inédite en Ligue1, le Clermont Foot s’est ainsi rapproché de ses fans, friands de maillots ‘’rouge et bleu’’ surtout le n°27 de Bayo. Mais les supporters ne vont pas tarder à s’intéresser de près à un autre type de commerce, une fois passés les marchés de Noël.
Auteur : Yves Meunier
Le top d’audience des 15 millions de téléspectateurs cumulés l’été dernier par France Télévision sur les trois finales olympiques victorieuses du Hand et du Volley ne préjugeait en rien de l’exposition qui serait ensuite réservée à ces habituels parents pauvres du petit écran. Bardés d’or, les uns et les autres se sont retrouvés confinés à nouveau dans la discrétion de leurs affrontements hexagonaux.
On ne sait pas si le président de l’ASM Clermont reprend chaque matin en se rasant le refrain un brin anxieux de Jean-Claude Dusse dans la solitude nocturne du téléski des Bronzés. On pourrait l’imaginer en remontant jusqu’à l’une de mes partitions de l’hiver dernier imprégnée de la désolation des interminables huis clos de la pandémie. La conclusion portait à s’interroger : Les spectateurs n’auront-ils pas perdu le goût et l’envie de retrouver le chemin des stades lorsqu’un jour les portes leur seront de nouveau ouvertes ?
Le propriétaire-président du Racing 92 en est à sa quatrième acquisition dans le Médoc, portant son empire à 220 hectares de vigne. Pendant ce temps, à Romagnat, sur les 60 ares de leur pré fétiche, les filles championnes de France repartent au combat…avec leurs armes.
Pendant que les handballeuses tricolores récoltaient l’or à Tokyo, les Norvégiennes faisaient le buzz au championnat d’Europe de Beach handball en osant troquer le bikini contre le short. Sanction immédiate : 150€ d’amende à chaque joueuse. Les instances européennes ne badinent pas avec le règlement : c’est le bikini ou rien( ?).Qu’en aurait pensé le gendarme de Saint-Tropez ?
Il y a quelques décennies, l’apparition brutale des désherbants chimiques dans les champs de céréales entraina une brusque disparition des coquelicots. Ils sont aujourd’hui revenus, sans doute par le biais d’une mutation qui interroge les naturalistes. Tels les coquelicots, les supporters s’apprêtent à reprendre vie avec la folle envie de faire à nouveau flamboyer les couleurs de leurs clubs.
A la croisée des chemins, dont l’incontournable via Podiensis du Puy à Compostelle, l’Aubrac ne se veut pas qu’une terre de passage. Ses paysages hors normes et son patrimoine disséminés sur le Cantal, la Lozère et l’Aveyron méritent d’être appréciés tout en douceur. De villages en villages, L’Echappée Verte ouvrira de nouveaux horizons, dimanche 11 juillet.
Tel le muguet, c’est au joli mois de mai que refleurissent ces fêtes de village qui font éclore les petits bonheurs et les grands plaisirs de la convivialité. Presque partout la ‘’petite reine’’ est de la partie car il n’est point de vrai fête sans une course de vélos. Tradition patrimoniale à jamais sacralisée dans le légendaire ‘’Jour de fête’’ du grand Jacques Tati (1). Mais ça, c’était avant.
Ça devait bien finir par arriver, le Clermont Foot a forcé les portes de la Ligue1. Si l’évènement suprême s’est fait attendre, le sport sera quand-même allé plus vite que le bâtiment. De projets en renoncements et à force de se refiler la patate chaude depuis trente ans, les décideurs locaux ont fait de ‘’Notre Dame des courants d’air’’, l’héroïne d’un feuilleton parfois abracadabrantesque. Voici l’histoire. Accrochez-vous, ça pourrait décoiffer les esprits cartésiens !
Sauf catastrophe les JO de Tokyo débuteront le 23 juillet sans certitude quant aux conséquences du Covid sur la santé et l’indice de performance des athlètes. Aux Jeux comme ailleurs, entre ceux qui auront été vaccinés suffisamment tôt et les oubliés de la seringue, les chances ne seront sûrement pas égales.